Nuage de pollution sur Beyrouth/A cloud of pollution spreads over Beirut (Beirut, Lebanon)
Nuage de pollution sur Beyrouth/A cloud of pollution spreads over Beirut
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Au Liban, la crise des ordures a conduit à des incinérations sauvages. Ces jours-là, le risque d’avoir un un cancer a été multiplié par 20.
Mais bien avant cela, l’air libanais était déjà toxique. En 2013, le taux de particules fines dans l’air était 2 fois supérieur à celui préconisé par l’OMS. Les deux polluants principaux étaient alors le trafic routier et les générateurs privés. Le premier augmentait de 40 % le taux de particules fines; le second aggravait de 38% celui de HAP, deux polluants potentiellement cancérigènes. Aujourd’hui, il faut également prendre en compte les gaz qui se dégagent des déchets pourris et responsables des mauvaises odeurs à Beyrouth.
Lebanese citizens have blamed trash burning for the higher levels of air pollution they have experienced the last months. They’re not wrong: the risk of developing cancer has been multiplied by 20 the days trash was being burnt. But Lebanese were inhaling toxic air before the trash crisis even began: in 2013, the level of fine particles was already twice above the levels authorized by the World Health Organization. The main culprits were traffic and private generators, which contributed each to the increase of about 40 % of fine particles and PAH, both potentially carcinogenic pollutants.
Today, the smelly gases produced by rotting waste piles are particularly harmful; but no study has been done yet to evaluate their impact.
Source: Najat Saliba, chercheuse/scientist at the American University of Beirut.
Pic by @mjdaoud
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by labneandfacts / Instagram
May 09, 2013 by mylebanon